Vous
noterez, s'il vous plaît, à charge plus qu'à décharge (je me comprends), que je
vous ai épargné toute connotation salace, dans la fable d'hier. La tentation était grande pourtant. Mais rien de tel aujourd'hui. Toujours un morceau de classique, mais plus récent...
Le vieux rat vaniteux, tyrannique et brutal,
Règne dans son terrier sur le moindre animal,
Soumettant chaque jour à ses nombreux caprices,
Trois souris, un mulot, un campagnol novice,
Et une paire d'amis, lérots de leur état,
Qui sont tombés un jour sous la coupe du rat.
Des lérots l'un est laid, petit et souffreteux.
Le rat lui a confié l'entretien de son feu.
L'autre, qui est joli, et dont l'œil est perçant,
S'est vu confier la garde, et veille sur le camp.
Moralité
Le
beau lérot du rat veille…
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